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une écurie do.nt la temperature sera douce et rréviter
de luidonner des aliments difl icites a macher et 21 dige-
rer. Si le mal est intense, la diete est de rigueur. On Trazlemu, dounera fréquemmentdes boissons blanches, lége—re- d§_£::§;"° ment additionnées de me]; on garnira Ia gorge du
malade d'une pea_u de mouton , la laine en dedans;
enfi n, on.fera respirer fréquemment des vapeurs dégagées de l’eau bouillante, eu plaeant le vase qui
la contiendra dans un sac 01‘: You introduira la téte
de l’animal.' Si le mal ne_»céde pas al’emploi de ces moyens , il sera prudent d’appeler un vétérinaire.
Le coryza , cotnnu vulgairement sous le nom de ,_C(,,).um, rhume de cerveau, est une maladie peu grave, qui disparait d’e11e-méme presque toujours. Ses causes sont les memes qui produisent les angines et les autres atfectlons de meme nature. La membrane interne du nez s’irrite, est rouge et plus ou moins séche; Phumeur muqueuse tombe goutte in goutte, elle devient limpide et incolore ; Pauimal tousse et s’ébroue souvent_; il éprouve tous les effets qui-se produisent chez l’homz_ne atteint d"un rhume de cer- veau. Bientét les mueosités qui s’écoulent des naseaux sépaississent, les ébrouements deviennent moins fréas
quent et cesseut enfi u , pen in peu , avec la maladie. Les precautions et les soins qui _vienne,nt d’étl'G‘Soins3ul0n‘-
indiiqués dans les angines sout le senl traitement a "°§o(:§::.. let appliquer dans le coryza. On éprouvera surtout de
hens effets des fumigations de vapeur d’eau bouil.-—