Page:Pompery - Quelennou var labour pe gonnidegues an douar, 1851.djvu/233

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semblable an ndtre , ou meme plus brumeux et plus '§'"=~'v:::';»;:_;_

humide encore, réussissent parfaitemeiit chez nous. Des essais faits sur plusieurs points dii dépar-tement, mais principalement dans Ie canton du Faou ,. ont été suivis des plus heureux résultats: les croisements avec les meilleures brebis indigénes, out donné une race métisse , dont le poids , la taille et le produit en laine de bonne qualité ont au moins double en moyenne. Mais le type anglais tend £1 disparaitre £1 chaque génération , faute de quelques béliers et brebis de pur sang pour entretenir et continuer cette amelioration. Les cultivateurs qui tiennent des‘ moutons et qui peuvent les bien nourrir ou les faire paturer a la suite des vaches', devraient se procuner de ces métis. ,

On laisse les jeunes béliers et les jeunes brebis se livrer a la ieproduction des l‘zige d’un an; c’est un tort‘: ii faudrait leur interdire l'accouplemen_t jus- qu’a ce qu’ils eussent atteint au moins deutx ans. [1

lagnc.

Espécc me’- tissc crééc dans les envinms du Faou.

iwmilc (‘I

reprmlur-‘ iiun des

mouluns.

faut bien nourrir les béliers pendant la monte,etévi‘ter "

de leur faire saillir un trop grand nombre de fem.el- les , ou l’on exposerala face a dégénérer: vingteou trente an plus suif‍isent pour un male.

La machoire inférieure des bétes £1 laine est gar- nie du meme nompre de‘dents que celle des bétes :1 comes; leur chute suit a pen pres les memes phases et indique Page de la maniere dite a l’article race bovine.

Agr des muuluns.