Page:Pompery - Quelennou var labour pe gonnidegues an douar, 1851.djvu/273

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CHAPITRE XII.

BAUX A FERME. — DÉFRICHEMENTS.

Pcrsuadef an propriélaire que son inlérél cu dam-Paurélioralion dc lkgricullure. Apprendre an culti- raleur cc qu‘il duil ..¢m-oir en agri- gullure, ct porter ceue instruction was le (oil le plus reculé.

Cclui qui mine son fermier

ruin: saleqre. J. BUJAULT.


Les baux à ferme song pour, la plupart, de.trop courte durée; ils négligent dc placer le fermier dans 105 conditions dc stabiljté n<_':cessaire aux ‘progrés agrico!es..Depuis longlemps cet inconvénienl a été signalé par les a_gr,anomes : Ies propriégaires auraient peut-étre. intérét é porter la durée des baux à une période de _dix-huitannées, sauf les ca§ de résiliation à prévoir, ‘par example, pour‘ cause de mauvaise gestion de Pexploitation.

Les progré-s agricolcgs renoontrentaussi une‘ ens Do‘gré-e- ' men! de la

f‍irglsce dans les charges onéreuses dfimpéts, d’entI"e- propnélé

Atien et de réparation qui pésenl: sur la propriété

foucierc.

fgmciére. Ce n'est pas ici le lien dfénumémr les éco- nomies réalisables dans les dépcnses de l’Etat, ni

.Ad'indiquer les valeurs imposables que nos lois f‍iscaleg

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