Page:Pompery - Quelennou var labour pe gonnidegues an douar, 1851.djvu/277

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.._ 277 ... ses terres arables , pour les rendi-e plus productives; exéouter des drainages, pour égoutter celles qui sont humides, enf‍in, opérer les amétiorations neces- saires; car il suit qu’il travaillerait sans dédomma- gemeut, dans la plupart des cas , au prof‍ltexclusif du propriétaire. T « La durée des baux, dit Leclerc-_Thouin, est un opinion dc

» point fortimportant, car has améliorations que l'ou ¥:§..[.'.°::'°:.c.;

9 apporte an sol ne so {out sentir que lentement; 1| " d;'f:.°:.,d" Jr seraitjuste que le fermier eut le temps d‘en prof‍i-

» ter. Tout bien considéré, on s’est done souvent

>9 élevé avec plus de véhémeuce que de raison oontre

» ce (man a cru devoir appeler la routine ct l_‘enté-

» tement des paysans. » p

M. Gasparin, dans sea mémoires d'agricu|l:ure, pro~ Principe:

pose aux propriétaires un modéle de bail ou la plus- value est reconnue ct indemnisée. Si le fermier croit .~,‘;:..I?.',, avoir accru d'une valeur de trois cents francs 'de

rente le domaine qu’il exploite, il olfre au proprie-

taire d’augmenter le prix do ferme de cetteditférencé;

celui-ci devra lui accorder un nouveau bail, on,

faute d'y consentir, il scra tenu de payer an fermier

une indemnité-de mille écus, avant de ‘le congédier,

c‘est-:31-dire la moitié du capitalrde la rente nouvelle qu‘il lui propose. M. Louis de Kerjégu, que j’ai déjé §_':',‘. :";f_ cité plusieurs fois, directeur de la ferme-école do "‘ K°""°'“‘ Trévarez, et l’un des hommes qui font le plus¢d"el‘-

forts pour activer les progrés de notre agriculture ,