CHAPITRE XIII. '
HYGIENE;
Ne va aux fuires elaux marches que pour les affaires ; il y aura um- jours asset dc fainéaus, d‘ivrognu el de gourmands sans Ioi.
J. Buuunr.
I.'.'bus des liqueurs “forte: tau plus de viclimes que la guerre.
Ie crois utile de consacx-er un derhier chapitre a donner. quelques notions (fhygiéne a nos cultiva- teu-rs ;; car, s’ils connafssaient les precautions, faciles a suivre, qui sufl lraient pour prévenirlelplus souvent les maladies auxquelles ils sont exposés , sans doute
I ils ne les négligeraient point, puisq1i'elles peuvenls»
ordinaiéemenl; se concilier avec les.exigences de
leurs travaux. A ' ‘ La plupart des maladies qnia sévissent dans nos M,e.c,,.°m
contrées sont dues in des causes. accidentelles, on a ‘°‘"“‘°"‘
telles des causes locales. Les rhumes, les fl uxions de poi- °t="°°*i°"=
dues}: trine, les infl amma-tions cénébrales, etc. , soul; géné- des causes ~ . . . , locales. ralemenl: des a-ffeclnons accndentelles, que 1 on pour- rait souventeviter, mais susceptibles de devenir tresgdangereuses, quand-elles se déclarent. Les fi év res de diverses natures sont des maladies duesa des
infl uences locales. 13-