Page:Pompery - Quelennou var labour pe gonnidegues an douar, 1851.djvu/293

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qui laisseront pénétrerla lumiérc du jour et surtbut les rayons solaires. '

Dans les lits clos, lo malade respite tin air vicié qui lui est trés-funeste. On peurrait le squstraire in cette facheuse condition, si l’on adoptait, a la cam- pague, les lits découverts, entourés de rideaux 'de serge, qui concilieraient parfaitement les exigences de la décence et celles de la salubrité. , _

‘ ll faut se garantir la téte avec soin, quand on tra- vaille sous uu soleil ardent; car Pinsolation peut produire chcz Pindividutqui s‘y ‘expose sans précau- tious, de violentes congestions cérébrales, oul’iuf‍lam- iuation de la membrane qui tapisse la surface intemc du crane;j'en ai vu de nombreux exemples, mais lignorance est telle, dans les campagnes, que. la ve- ritable cause de ces maladies foudroyantes, souvent suivies de mort presque instantanée, wétaitjamais soupgonnéc. , ‘

En été, le cultivateur fem bien d‘éviter soiguouse~ Iueut les refroidissements brusques. Dans l‘c'tat de transpiration, il ne faut jamais s'asseoir sur uu sol lxuuxide et froid, ni se placer dans les courauts d'air, par cxeunple entre les deux portes qui sont ordinai- rement placécs vis—a-vis l’une dc l’autre, dans nos maisons ruralcs. C’est cette derniére imprudenee qu'il faut surtout redouter; en etfet, les ret‘roidisse- ‘incurs auxquels on s’expose dans les courants d’air,

tsout les plus pcrf‍ides‘ dc tous. L‘air est vif lo matiia 13'

Incuuvé- nienls uh-s lils rlos.

Uavlgers ale I iusulatiun.

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