Page:Pompery - Quelennou var labour pe gonnidegues an douar, 1851.djvu/297

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avec trop d’«insistance, contre l'excés des boissons 1.~,,,..,..,, alcooliques, qui sont d'ailleurs de _mau.vaise qualité ,~;‘,7f';f;f,,‘:fe et souvent frelatées au moyen de substances nuisiblos f,',;'f,o§;‘,fj§‘,: et dangereuses. L’organisme., soumis incessamment "'°°""‘I“°’° A leur action , est miné seurdement , et , quand Paltératlon des -viscéres est devenue grave et‘pro~

fonde, le mal éclate tou.t—a-coup avec intensité a une

période ou ses ravages sent trop étendus pour que

la science puisse désormais y ‘remédier. On ‘l‘a --dpit

avec raison : l‘abus des liqueurs fertes fait plus de

victimes que la guerre! en outre, Pivrognerie est une

cause de disputes , Ade rixes fréquentes , de morts

inopinées et violentes ; elle entralnea Poisiveté, cause

le dégout du :travail, ‘les pertes de temps et la ruine

. des families.

La petite vérole fait mains de ravages qn’autrefois, La lpeme depuis la déconverte de la vaccine. Cependant, it y mom a des exemples de personnes vaccinées, atteintes de cette maladie ; mais alors elie est bénigr-e, peu dans, gereuse et .ne déf‍igure pas. ll faut dire aussi que s’il survient encore quelquefois des cours de petite vérole; celaivient peincipalement de ee que les cul- tivateurs negligent de présenter leurs enfants une seconde fois an médecin vaccinateur, pour faire co-nstater si les boutons sont dc bonne nature, c’est- ia-dire si le vaccin a pris.

La rougeole, qui se déclare ordinairement dans 1,. Penfance, est rarement dangereuse, quand on a soin '°"‘°°'°'