Page:Ponchon - La Muse gaillarde.djvu/160

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« Et je viderai tout mon sac…
Ah ! je vois à vos têtes
Que vous avez déjà le trac,
Vieux ingrats que vous êtes !

« Et puis, vous savez, mes chéris,
Encore une autre chose :
Si j’ai la prison pour abri,
Ma porte sera close !

« Vous pourrez vous fouiller, voilà !
Et je vous… enguirlande. »
Ne croyez-vous pas que c’est là
Que finit la légende ?