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Page:Ponchon - La Muse gaillarde.djvu/272

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Je subis combien de licous…
Non… je n’ai plus la main heureuse.
Au jeu de l’escrime amoureuse
Ne puis plus que compter les coups.

Ainsi l’on passerait sa vie.
Ce petit patelin d’été
Serait un séjour enchanté.
Une table toujours servie

Digne en tous points du gros Falstaff
Et croulant des mets les plus rares,
Et des simples pour les barbares ;
Et comme l’on a toujours soif

Et que le fait de satisfaire
Les goûts les plus capricieux
De ces dames et ces messieurs
N’est pas une petite affaire,

Il y aurait, pour ces motifs,
Les liqueurs de toutes manières,
Les plus indiscutables bières,
Les vins les plus affirmatifs,

En un mot, quoi, toute la lyre,
Pour quant à moi, je ne bois pas
À peine pendant mes repas
(Un doigt de vin, et, c’est pour dire…)