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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/147

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de course et cernait le château, traînant derrière lui deux pièces d’artillerie qui furent braquées devant la porte.

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Au premier coup de canon, la porte fut ébranlée ; au second elle tomba.

Les soldats s’élancèrent alors dans le manoir, persuadés qu’ils allaient être fusillés à bout portant, et que chaque salle serait barricadée et résisterait.

Il n’en fut rien.