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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/154

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devenu républicain, se promenait à grands pas, trahissant malgré lui une violente agitation.

Il était vêtu d’une longue robe de chambre en molleton gris, chaussé de pantoufles et tête nue. Ses cheveux, frisés à la Titus, étaient ramenés avec soin de l’occiput au-devant de la tête, et pommadés à outrance.

Sa fine chemise de batiste à jabot de dentelles, sa main blanche aux ongles soignés, aux doigts ornes de deux bagues magnifiques, un saphir et un diamant, un