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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/175

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tant d’amitié qu’elle a eu d’amour pour celui qui est mort…

— Eh bien ?

— Ne voyez-vous donc pas luire, là-bas, dans le lointain, l’étoile dont je vous parlais.

Barras fronça le sourcil de nouveau.

— Ma chère, dit-il, je ne puis pourtant pas servir mon cœur au détriment de la République.

— Bah ! fit-elle d’un ton railleur.