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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/185

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ont levé hardiment l’étendard de la révolte.

« Ils ont massacré une brigade de gendarmerie, mitraillé un bataillon et soutenu un siège.

« À l’heure qu’il est, ils sont retranchés dans les forêts du Nivernais.

« J’attends des ordres pour agir.

« Solérol. »

À cette lettre, digne des Commentaires de César, le citoyen Curtius avait ajouté ce post-scriptum :