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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/238

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leurs, sois tranquille, il a fait cause commune avec les rebelles. Le conseil de guerre ne verra pas autre chose.

— Barras l’aimait beaucoup, dit-on.

— Eh bien ! il le pleurera quand tu l’auras fait fusiller ; et quand il l’aura pleuré, il se consolera.

— Ah ! soupira Solérol, c’est qu’il en sait long, celui-là.

La conversation des deux complices fut interrompue par le bruit lointain du galop d’un cheval.