Aller au contenu

Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/247

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

— Ah çà ! mais Barras ne paraît pas savoir que mademoiselle Lange est ici.

— Qui sait ? fit Scœvola.

— Je me figure, moi, poursuivit le chef de brigade, que cette femme vient ici pour nous jouer quelque mauvais tour.

— C’est possible ; mais tu feras bien de la ménager : elle est au mieux avec Barras.