Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/25

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— Heureusement suis-je là, moi, dit-il.

— Tu vas nous servir à souper ?

— Parbleu !

— Et de bon vin ?

— Oh ! du vin d’aristocrate !

— Bravo !

— Le vin de défunt le comte… un cru de trente années au moins.

— Et que mangerons-nous ?

— Un pâté, des saucisses et une volaille froide.

Parlant ainsi, Publicola poussa une der-