Aller au contenu

Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/274

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

salle, rejoignit Scœvola et Curtius dans la salle à manger, où tous deux s’étaient attablés.

— Mon vieux, dit Scœvola lorsque le général leur eut confié l’entretien qu’il venait d’avoir avec mademoiselle Lange, la péronnelle nous coule…

— Plaît-il ? fit le général.

— Elle n’est plus la maîtresse de Barras.

— Hein ! que dis-tu ?

— Je le tiens de l’officier d’ordonnance