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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/297

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cœur et de mon âme, et cependant, à cette heure, je songe moins à sa vie qu’à son honneur…

— Mais alors, que comptes-tu faire ?

— Ceci est mon secret.

— Tu as donc des secrets pour moi ?

— Oui, quand il s’agit de ne pas t’entraîner dans un péril inutile.

— Mais ne suis-je pas ta sœur ?

— Si, mais je veux agir seule. Tu resteras à Paris… je partirai.

— Et où iras-tu ?