Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/36

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rir, mais tu mourras avec moi, et je t’étranglerai !

Madame Solérol essaya de se débattre, mais le chef de brigade avait une main de fer, et la pauvre femme, chez qui la force physique faisait défaut à la force morale, fut brutalement renversée sur le sol.

Il se passa alors quelque chose d’horrible.

Ce fut une lutte acharnée, terrible, entre cet homme dont les forces s’épuisaient et cette femme délicate et frêle.