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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/66

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Lucrèce était pâle comme un spectre et elle se soutenait à peine.

Elle jeta un regard éperdu sur Bernier, joignit les mains et murmura :

— Victor, au nom du ciel, sauvez M. Henri, mais ne perdez pas mon père ?…

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Or, l’homme qui venait de faire trembler le farouche Scœvola et qui apparaissait comme un libérateur à madame Solérol, c’était Bernier.