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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome I.djvu/96

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— Mais, dit Bernier, vous avez ici des gendarmes à cheval ?

— Oui.

— Expédiez-en un à Auxerre. — C’est inutile, le colonel a se porter sur Courson avec un bataillon. Il est à une heure de galop d’ici.

— Eh bien ! dans deux heures nous recevrons la réponse du colonel.

— Mais, je ne puis me retirer !…

— Faites cerner la place, ordonnez à