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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/11

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— Mais, chère dame, reprit Solérol, je ne vous laisserai pas aller toute seule.

— Pourquoi donc ?

— Parce que vous vous égareriez sûrement dans la forêt.

— Qui donc m’accompagnera ?

— Moi, madame, dit le Bouquin.

Et le fils du père Brulé prit un air naïf et de bonne volonté.

— Il va donc prendre aussi un cheval ? demanda encore mademoiselle Lange.