Aller au contenu

Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome II.djvu/26

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

— Mais alors nous n’allons pas vers l’Yonne ?

— Au contraire, madame ; quand nous serons en haut du plateau, vous la verrez tout en bas, au bord des bois. Oh ! vous aurez un beau coup d’œil de là-haut. On voit bien dix ou douze clochers.

— Et les bois du Nivernais, les voit-on.

— Oui, madame.

— À quelle distance ?

— À deux lieues.