Aller au contenu

Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome III.djvu/13

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

alla jusqu’à un hangar sous lequel étaient les charriots et les tombereaux de l’exploitation.

Comme ce hangar était adossé au mur qui séparait la cour du potager, le Bouquin, en se blottissant dans le tombereau, s’était considérablement rapproché des deux promeneurs nocturnes.

Et il pouvait entendre maintenant ce qu’ils disaient.

— Michelin, disait la femme, es-tu bien sûr qu’il va mieux ?