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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome III.djvu/16

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fois en quinze jours que vous passez l’Yonne et que vous venez ici à pied, la nuit, pour avoir des nouvelles du capitaine.

— C’est mon devoir, cela, Michelin.

— Vous savez si je risque gros, moi ?

— Je sais que tu es dévoué à madame Solérol et que tu sers tous ceux qui marchent avec elle.

— Ça c’est vrai.