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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome III.djvu/31

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Alors, la Lucrétia prit ce flambeau et entra dans la seconde pièce.

C’était la chambre à coucher de madame Solérol. Tout s’y trouvait dans le même ordre.

Solérol, dans sa haine aveugle contre sa femme, n’avait jamais voulu entrer, et avait défendu aux gens du château d’en franchir le seuil.

La Lucrétia dit à Michelin :

— Déplace un peu le lit.

— Pour quoi faire ?