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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome III.djvu/320

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laissait deviner plutôt que voir la terrible roue du moulin.

Une bouffée d’air glacé lui fouetta le visage.

En même temps, un clapotement de l’eau monta distinctement jusqu’à son oreille.

Et Curtius osa avancer la tête en dehors de l’ouverture, et il se pencha.

Une clarté vague brillait à dix pieds au-dessous de lui.

C’était le reflet brisé d’un rayon de lune