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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome III.djvu/40

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un honnête et courageux garçon, songeât à défendre Lucrèce.

Mais Brulé lui dit :

— Je ne veux pas tuer ma fille, comme tu le penses bien ; ainsi, ne te donne pas tant de mal, mon garçon.

— Je ne sais pas si vous voulez ou non la tuer, répondit Michelin, mais, vivant, vous ne lui ferez aucun mal.

— Je ne veux pas lui faire de mal.

— Alors, que voulez-vous ?

— Je veux lui parler.