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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome III.djvu/47

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— Non, dit la Lucrétia, non, je le jure !

Et elle raconta à Brulé comment elle avait rencontré le marquis.

— Après ? dit Brulé.

La Lucrétia, qui aurait donné la moitié de son sang pour entraîner son père dans le camp des royalistes, ne se fit point prier.

Elle parla de la conspiration des chevaliers du poignard, et de la trahison du marquis et de Solérol.