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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome III.djvu/75

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dans son esprit, que le chef de brigade n’était pas bien sûr de n’avoir point rêvé.

Il avait un gland de sonnette à sa portée, et il l’agita violemment.

Son officieux parut.

Ce dernier avait la mine pendante et l’œil hébété d’un homme qui s’est grisé la veille.

— Hé ! butor, lui dit Solérol m’expliqueras-tu ce qui s’est passé ?

L’officieux tourna sa casquette entre ses doigts d’un air stupide et répondit :