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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome III.djvu/83

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— Cela doit être, dit-il, j’ai rêvé.

— Seulement, reprit Scœvola, je vais te donner maintenant un conseil.

— Parle…

— Sais-tu que nous nous grisons soir et matin ?

— Peuh !… en Bourgogne… la chose est permise.

— Non, quand on a de la besogne.

— Ah ! c’est juste.

— Sais-tu les nouvelles de cette nuit ?

— Ma foi, non.