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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome III.djvu/94

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Le fermier était sombre et pensif.

— Qu’as-tu ? lui demanda Solérol.

— J’ai, répondit Brulé, que ça ne va pas. Les royalistes ont pris Entrain cette nuit.

— Hein ! fit Scœvola, on ne m’avait pas dit cela.

— Demain ils prendront Clamecy, poursuivit Brulé.

— Où, d’ici à demain, je les exterminerai jusqu’au dernier.

— Excuse-moi, ricana Brulé, voici bientôt un mois que vous dites ça, et jus-