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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome III.djvu/97

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— Tu harangueras l’armée et la municipalité.

— Cela me va, dit Curtius. Je vais mettre mon uniforme et ceindre mon écharpe.

— Tu as raison, dit gravement Solérol, on a beau dire que l’habit ne fait pas le moine, c’est vrai cependant.