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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome IV.djvu/13

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une touffe de saules, à une centaine de pas de lui en aval.

C’était une barque.

Une de ces barques plates qu’on appelle des chalands et qui se manœuvrent avec une perche, en guise d’aviron.

La barque était du côté opposé à celui où se trouvait Curtius.

Mais Curtius n’en était pas à un bain près ; il se rejeta à la nage et se dirigea vers la barque, dans laquelle il monta.