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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome IV.djvu/282

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— Il faut pourtant que je voie le capitaine.

Et il monta chez Bernier.

Bernier s’était recouché. Il était demeuré silencieux et calme tandis que la troupe de Machefer envahissait le château, et il ne s’était point montré un seul instant, pendant qu’ils s’emparaient de Solérol.

— Monsieur, lui dit Machefer en entrant chez lui, je désire avoir avec vous un moment d’entretien.