Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome V.djvu/118

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

— Non pas !

— Pourquoi ?

— Mais parce que vous ne sauriez pas vous rattacher comme moi. Je vous délierai les pieds et les mains ce soir… quand on vous aura apporté à manger… et que nous n’aurons plus à redouter la visite, de nos gardiens.

— Tu ne dormais donc pas ?

— Non.

— Tu n’es donc pas ivre ?