Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome V.djvu/148

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

— Oui, citoyen. Et le capitaine Bernier le savait.

— Monsieur, dit Barras, pourriez-vous me prouver cela ?

— Non, citoyen.

— Et cependant vous m’affirmez que c’est la vérité.

— Je l’affirme.

L’officier parlait avec conviction.

— Mais enfin ce que m’écrit cet homme…