Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome V.djvu/158

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chicaner sur les mots. Eh bien ! je suis ambassadeur… des… rebelles.

— Et tu oses venir ici ?

— Je viens d’apporter mes conditions. Bon ! ne hausse pas les épaules, comte…

— Plus bas… plus bas… murmura Barras.

— Tu as donc peur qu’on nous entende ?

— Je ne veux pas faire tomber ta tête.

— C’est d’un bon parrain, comte.

— Tiens, ajouta Barras, puisque tu es à