Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome V.djvu/171

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— C’est la femme de ce misérable Solérol.

— Je sais cette histoire, dit Barras.

— Souillée par un mariage, elle veut se réhabiliter par un mariage.

— Je ne comprends plus, dit Barras.

— Je viens te demander de rétablir dans ses fonctions de maire, le citoyen Jean Bernin, que ton représentant Curtius a révoqué.

— En quoi cela peut-il toucher madame Solérol ?