Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome V.djvu/182

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Brulé se vit perdu, car l’accent du Bouquin était froid et résolu.

Il tomba sur ses genoux et s’écria :

— Malheureux ! oseras-tu donc tuer ton père ?

— Vous vouliez bien tuer votre fils… vous… Mais je suis meilleur, moi…

Brulé respira.

— Je vas vous donner le temps de faire une prière, ajouta l’enfant avec un calme féroce. Allons ! papa, si vous croyez