Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome V.djvu/187

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

— Nous nous entendions comme la tête et le chapeau… tandis que maintenant, je vais être tout seul, moi…

Brulé fut repris d’une crainte vague.

— Car enfin, murmura le Bouquin, vous sentez bien qu’il faut que je me débarrasse de vous ; sans ça, vous vous débarrasseriez de moi.

— Oh ! non, dit Brulé, et si tu veux faire la paix.

— La paix ! allons donc !