Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome V.djvu/199

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avons du chemin à faire. Eh bien, voulez-vous savoir mon histoire ?

— Ça m’est égal, murmura Brulé.

— Je vas toujours vous la dire. Mon grand-père était un bien brave homme : mais il s’était querellé avec le préposé de la taxe et le receveur des gabelles.

— Que me chantes-tu là ? fit le fermier en haussant les épaules.

— Mon histoire donc ; l’histoire de mon grand-père… votre père conséquemment.