Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome V.djvu/202

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aussi le cœur lui saigna, quand elle vint pour arrêter mon grand-père.

— Après ? après ? fit Brulé avec impatience.

— D’autant plus, poursuivit Bouquin, que c’était un dimanche, qu’elle alla justement l’arrêter dans un cabaret de Fouronne.

— Mais, qu’est-ce que tout cela me fait ? s’écria Brulé, qui, les mains sous la blouse, cherchait, sans y parvenir, à se débar-