Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome V.djvu/204

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— Défunt mon père ne me l’a jamais racontée.

— À vous, c’est possible… mais à moi. J’étais très-bien avec le grand-père… il me faisait sauter sur ses genoux, et disait que j’étais son Benjamin, vu que je suis le culot.

En Bourgogne, les paysans appellent culot le dernier né, grommela-t-il.

Cette expression arracha une grimace à Brulé.