Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome V.djvu/208

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

bliait par moment qu’il était prisonnier de son fils.

— Ce fut le brigadier.

— Et il emmena le père à Mailly-la-Ville ?

— Naturellement. Seulement, en route il lui dit :

« — Tu vois, mon pauvre Jean, nous avons fait la chose proprement, et personne n’en saura rien.

« — De quoi donc ? demanda le grand-père.