Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome V.djvu/211

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Avec une adresse merveilleuse, le gamin fit passer les deux mains de son père derrière le dos, et les attacha si solidement, que, désormais, il n’eut plus aucune crainte.

En ce moment, du reste, ils arrivaient au moulin.

Le Bouquin héla Jacques le Borgne.

Celui-ci, qui ne dormait jamais que d’un œil, descendit ouvrir sa porte.

— Dis donc, Jacques, lui dit le Bouquin, j’ai rudement besoin de toi.

— Pourquoi ?