Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome V.djvu/222

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Tandis qu’il accomplissait cette besogne, le Bouquin philosophait.

— Je vais effaroucher l’argent de papa et les huit mille livres de la petite dame, se dit-il. Avec les trente mille livres du coffre ça sera un joli magot… Seulement…

Sur ce mot, il s’arrêta et se prit à réfléchir.

— Il ne faut plus compter sur l’amitié du père Brulé, se dit-il, c’est entre lui et moi, maintenant, une haine à mort… Si je