Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome V.djvu/227

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

— Ma foi, non.

— Eh bien, papa et moi, nous ne sommes plus aux Soulayes.

— Ah !

— Nous avons fait retour à la bonne cause. Nous servons les royalistes.

— Est-ce bien vrai, ça, dit Sulpice toujours défiant.

— Je te le jure.

— Eh bien ! que veux-tu ?

— Un cheval et un bât à vendange.

— Où vas-tu ?