Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome V.djvu/256

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

— Ça vous regarde, ça ; mais vous comprenez que j’ai dû dire comme eux.

— Pourquoi ?

— Pour vous sauver, donc ! On ne meurt pas d’aller en prison.

— Mais enfin, dit Curtius, explique-moi pourquoi tu m’as trahi.

— Je ne vous ai point trahi, vous dis-je, je vous ai sauvé.

— Et pourquoi es-tu garrotté ici ?

— Ah ! ceci c’est une autre histoire : ils ont surpris deux mots que je disais à l’o-