Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome V.djvu/260

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— Oh ! beaucoup de choses.

— Mais encore…

— D’abord, je veux cent mille livres.

— C’est cher.

— À prendre ou à laisser, citoyen.

— Bon, je te les ferai donner par les directeurs. Mais c’est tout, j’imagine.

— Non, je veux plus encore, je veux la vie de Solérol.

Ces mots firent tomber le voile qui obscurcissait l’esprit de Curtius.

— Ah ! dit-il, je comprends tout main-